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Dizzy

Brazda Lui Novac's new album "Dizzy" is pure electronic music, synthesized, "but with a huge human contribution. You can listen to his music just for ambience, but if you pay attention to the details, you will discover beautiful sounds that may be unnoticed in the <<ambience>> mode. Dizzy is a beautifull mix of classic electronic music and IDM. The album contains 14 tracks, including a Brazda Lui Novac remix of Subheim's track "Streets" and a remix of the great "Access To Arasaka" (Tympanik Audio). Dizzy will be deliverd as digipak CD.

Brazda lui Novac is Victor Popescu, who named the project after the neighbourhood he grew up in, from Craiova, Romania. In 1997, when he got his first PC, he started creating music. He liked it so much that he gave up his main passion, architecture. Firstly he worked in several studios in Bucharest, and later he opened his own studio. In 2010 he released his first album "Brazda lui Novac".

www.brazdaluinovac.com
www.facebook.com/BrazdaLuiNovac

  • Artist / Producer
  • Release Date
  • Lenght
  • Available Formats
  • Cat. num (physical)
  • Cat. num (digital)
  • Label
  • Mastering
  • Cover
  • Layout
  • Brazda Lui Novac
  • 10/2011
  • 60:04
  • CD, Digital
  • raum-cd-07
  • raum-net-16
  • Raumklang Music
  • Brazda Lui Novac
  • Ioana Bolchis
  • Dirk Geiger

Additional information

CDR, Digipack 300 Items

Reviews

chroniqueselectroniques.net [11/2011]

Le Roumain Victor Popescu compose depuis une quinzaine d'années. Il abandonne l'architecture pour ouvrir son studio de production, Square Sound Records, qui ne tarde pas à se développer en label. Ce n'est qu'en 2010 qu'il développe son projet Brazda Lui Novac, du nom du coin dans lequel il habitait dans son enfance, et qu'il sort un premier album éponyme. Dizzy sort aujourd'hui sur Raumklang Music, le label de l'allemand Dirk Geiger dont les releases déçoivent rarement.

Au premier contact de cet album, qui s'effectue en toute logique par le biais de l'artwork, une question brule, pourquoi ? Pourquoi le pastel, les robots pré-pubères, tout ça... Trêve d'incompréhension, la musique, elle, semble moins ésotérique, ou l'être dans un autre genre. Dizzy est fait d'IDM, d'électronica ultra old-school et d'errances synthétiques hors espace-temps. Un enrobage downtempo et des ambiances sci-fi parachèvent le tout. Brazda Lui Novac convoque des spectres new wave et early electronics ondoyant entre les 80's et les 90's, mais les fusions qu'il opère préservent de l'écueil du kitsch. Les 14 morceaux s'apparentent à des comptines méditatives, à l'image de bouts de scénario défilant devant nos yeux et dégageant des émotions contrastées, ingénues, épiques ou utopistes. Dizzy pourrait être le reflet d'une vaste uchronie, mêlant des récits de cyborgs déchus et les chroniques poétiques d'un monde contrefactuel. La musique de Brazda Lui Novac n'a rien de sombre, elle rayonne du brillant de néons défoncés, clignotants et poussiéreux. L'electronica moirée que dresse les synth-lines chancèle entre fouillis rythmique et chimères indolentes. Conjecturer des influences de Skam ou du Warp naissant ne serait pas forcément absurde. Il arrive cependant que la formule de Dizzy disjoncte à l'occasion. Trop de bleeps et de synthés flamboyants rendent ardue la tenue sur la longueur (Move, Beatz). Mais l'existence d'une poignée de pépites du genre de Blue, Speed, EDM et surtout l'exceptionnel et foudroyant Shift font largement ployer la balance. Le disque s'achève sur deux remixes, celui du sublime Streets de Subheim par Brazda lui-même et de Sat par Access To Arasaka, qui ont pour défaut de n'être d'aucune cohérence avec le reste. Mais face à une telle beauté, il est dur de faire des manières. Streets transporte, tout en préservant les bourrasques émotionnelles de Subheim et AtA aplanit littéralement Sat pour ensuite le plisser et en froisser les éléments dans un souffle exhalant la froideur cyberpunk.

Quoique légèrement inégal, Dizzy est un album qui ne ressemble à nul autre. Hors continuum actuel, ses trames acidulées et profondément cinématiques ont un charme manifeste. Reste l'artwork...

adnoiseam.net [11/2011]

"Dizzy" is apparently the second album of the Romanian musician Victor Popescu under his Brazda Lui Novac moniker. Between playful IDM and glitchy influences, the whole thing boils and bounces with a profusion of little beats, a relatively bassy sound (for this genre) and a taste for surprise. Closer than the early Warp era to which a lot of musicians are currently paying homage, this actually sounds a bit closer to me to what Tigerbeat6 used to be about, or some of the calmer output on Schematics. "Dizzy", accurately named, is crowned by a remix this musician wrote of Subheim's "Sleep" and another one by Access to Arasaka. All in all an interesting, joyful little electronic album.

darkwave.ro [10/2011]

To be released on Oct-20 in a special event organized in Silver Church Club, Brazda lui Novac’s second album, entitled “Dizzy” will include 12 Brazda lui Novac compositions, as well as one remix for Subheim’s “Streets”. Both Brazda lui Novac and Subheim were on the same stage of Planet Myer Day 2011.

The album is a fully fledged electronic contraption that takes you over in successive, persuasive bits, with an already recognizable Brazda lui Novac trademark sound which envelops you from the very first seconds and keeps you up with very determined beats. Abstract to a certain extent, but without becoming cryptic or undanceable, the music proposed by “Dizzy” is a cavalcade of sounds that truly measures up to expectations. Already with a mood set in by “EDM” (short for ‘electronic dance music’ if you ask us), it rushes forth with very tidily constructed sound on “Red Pill” and “Algo”, with the notable difference that the latter tracks are in a certain way more aggressive, but in a good way. Overall, the feeling resists the tempest of new sound, and the more minimalist touches are covered in the at times droning, at other times soothing shell of sound that defines the tracks.

With “Sat”, the resolve of the album is there; and the game of ambivalence and subtle shifts of positive emotions is conducive of great atmosphere. If you are ready to get more, then “Blue” is the track in line for you, and it is a great addition to the already superb rendition of the previous tracks. It goes the same about “Move” and “Speed”, and mention should be made of the fact that there is a certain distinguished choreography in the tracks, that transports you into the right kind of movie and instead of keeping you hanging in there, guides you from room to room to new experiences of new depths.

Beatz”, which in a nutshell could be thought of an essential track for the album, but also one that confirms the album’s fluency and responsiveness to the overall human, and humane touch of Brazda lui Novac’s music. And then, when “Machine” takes the floor, you know that you are flooded by the most unprecedented emotions; with “Shift” the atmosphere becomes thicker and even more credible. “ASMPS”, just before the reverential “Outro” convenes that this exercise in sound is crucial to the universe of sound, not only of the album, but what could be a daily soundtrack of our lives. Ultimately, the remix for Subheim’s “Streets” gives a clearer glimpse into what the music of Brazda lui Novac could add on top of your music if you are a musician; maybe it is time to consider this artist for your future collaborations.

Intimate and truly refined in its weft, “Dizzy” is one of the albums that leaves you gaping, for air, but also for more. Enjoy!

indierockmag.com [10/2011]

Déjà fort de deux des plus belles sorties électro de l’année avec le Seven de Tapage et le Shades de Grauraum, Raumklang Music continue de taquiner en toute amitié mais non sans ambition les ténors de Tympanik Audio.

Récente signature du label de l’Allemand Dirk Geiger, c’est aujourd’hui au tour de Brazda Lui Novac d’ajouter sa pierre à l’édifice de cette toute jeune référence de l’IDM, en bon architecte qu’il fut avant de se lancer professionnellement dans la musique avec un premier album éponyme en 2010 qui n’était pas tombé dans les oreilles d’un sourd en la personne de l’auteur du superbe Autumn Fields.

Après les Russes arMuta et Midimode, les pays de l’Est nouveau bastion de l’électro/ambient sans concession sont donc une fois de plus à l’honneur avec ce talentueux Roumain du nom de Victor Popescu, précédé d’une expérience musicale de 15 ans qui lui doit de posséder déjà son propre studio à Bucarest où sont nés les morceaux qui composent aujourd’hui ce Dizzy. Un album particulièrement fluide dont le chassé-croisé de nappes synthétiques, de programmations fuyantes et de puissants beats élastiques n’est pas sans rappeler l’univers d’Autechre au mitan des années 90 pour son parfait compromis entre le pouvoir d’abstraction des rythmiques et le malaise insidieux des atmosphères, comme pour la liberté prête à s’emparer à tout moment de ces complexes écheveaux d’algorithmes analogiques.

Les admirateurs de Subheim enfin n’auront pas manqué de noter cette dimension épique voire cinématique qui préside à certains titres tels que EDM ou Shift et que vient confirmer en fin de parcours un remix concassé de Streets extrait du fameux No Land Called Home, avant que le génial Access To Arasaka ne vienne porter l’estocade au gré des nappes stellaires et des glitchs épileptiques d’un Sat de toute beauté.

bucuresti.24fun.ro [10/2011]

Domnul de astazi, adica Brazda lui Novac, cunoscut restransului grup de prieteni ca Victor Popescu. Dupa o tinerete zbuciumata si presarata de punk in mare parte, odata ce a incheiat conturile cu pubertatea, domnul Popescu a luat drumul capitalei unde a urmat facultatea de arhitectura. Intre timp focul care-l ardea pe dinauntru l-a cam mistuiut si s-a indreptat incet si sigur inspre productia muzicala si mai ales sound design.

Toata muzica pe care am ascultat-o pana acum de la Brazda lui Novac suna incredibil de frumos. Desi peste tot planeaza aerul digital si de sunet programat pana apropape de apoplexie, totul este extrem de cald si armonic. Brazda lui Novac este unul din putinii artisti la care fac un mare efort sa-mi dau seama de influentele lui, dar as putea sa ghicesc ca prin urechi i-a trecut foarte mult post-punk de prin anii ’80 si ca a filtrat totul prin ce a insemnat IDM-ul de pe la jumatatea anilor ’90 pana prin 2000, dar toate astea sunt mai mult decat evidente. Asa ca ma intorc elegant la „Dizzy“, albumul proaspat lansat. Imi place ca identitatea sonora Brazda lui Novac este in acest moment foarte clar cristalizata. Da, se poate incadra undeva prin marele curent IDM! Sunetul digital isi gaseste paraindaratul in cel analog. Ca sa descriu mai usor, cu riscul de a ma repeta in concluzie, ce se intampla pe „Dizzy“ dau si eu un exemplu cat se poate de tamp: Ghost in the Shell! Si da, ma refer chiar la animatia in cauza, care foarte indirect trimite la Descartes, cum ca orice e construit pe o tulpina logica ce evolueaza continuu, o sa apara la un moment dat si o component metafizica. Sper sa nu par vreun bou! In schimb, foarte recomand ultimul Brazda lui Novac, adica „Dizzy“!

Tracklist

01. EDM
02. Red Pill
03. Algo
04. Sät
05. Blue
06. Move
07. Speed
08. Beats
09. Machine
10. Shift
11. ASMPS
12. Outro
13. Subheim - Streets (Brazda Lui Nova Remix)
14. Sat (Access To Arasaka Remix)

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